Sabala détente avec Rapha Bounzeki
Né le 04/08/1961 à Mfoa, Bernard Bounzeki dit Rapha Boundzeki (son nom de scène), nous quittait. (more…)
Né le 04/08/1961 à Mfoa, Bernard Bounzeki dit Rapha Boundzeki (son nom de scène), nous quittait. (more…)
Les Français, à chaque période de l’année ont des choses qui leur tombent dessus.
Ces choses sont décidées en certains lieux où la majorité de la population n’a pas prise. (more…)
Je ne crois pas avoir connu pareille chose au Congo rive droite. (more…)
Nous sommes mercredi 10 août 2016, je commence ce billet à 10 heures 21’, heure de Mfaa.
Depuis ce matin, pas une goutte d’eau n’a coulé de nos robinets. En tout cas dans mon quartier.
Depuis ce matin, rien du tout.
Hier mardi 09 août 2016 ? Zéro goutte d’eau.
Avant-hier lundi 08 août 2016 ? Zéro goutte d’eau.
Dimanche, je ne suis pas sûr que de l’eau ait coulé non plus.
Je me pose tous les jours la même question : ces gens qui sont censés assurer la distribution et la vente de l’eau (censée être potable, mais qui ne l’est pas) vivent dans quel monde ? Comment peuvent-ils dormir tranquillement, vivre sans la moindre entrave sachant qu’ils nous laissent ainsi, sans la moindre explication convaincante, sans la moindre goutte d’eau ?
Déjà que quand on vit seul, c’est l’enfer de ne pas voir d’eau. Cependant, quand on vit en famille, les circonstances sont aggravantes et même le diable n’y reconnaîtrait plus ses enfants.
Je le réitère tous les jours : le patron de la SNDE devrait rendre son tablier. Trop c’est trop. C’est tout simplement insupportable. Un être humain normalement constitué ne pourrait pas supporter ce que nous, Africains, acceptons de supporter de la part de cette société qui in fine ne sert à rien sinon qu’à nous voler notre pauvre argent.
Quand l’eau coule elle est de très mauvaise qualité et sinon, on ne la voit jamais car elle est bloquée diable sait où.
Il y a des jours, quand je vois les agents de la SNDE en train de se balader dans les rues, je leur dis ce que je pense et la plupart du temps, ils sont incapables de répondre quoi que ce soit. Ils courbent l’échine, nous renvoient à leurs chefs. Je leur dis que dans ce cas, il faut qu’ils arrêtent de nous distribuer les factures car comme l’avait dit James Baldwin, La prochaine fois le feu.
Obambe NGAKOSO, August 2016©
Obambe NGAKOSO, August 2016
Hier après-midi, je sortais d’une banque au centre-ville de Mfoa, en direction de la gare. On passe qu’on le veuille ou non devant les bureaux d’Air France, la compagnie qui a compris qu’avec les Africains, il y avait, il y a et il risque d’y avoir encore longtemps plein de fric à se faire. (more…)
Il y a des images qui disent tellement tout que parler en plus serait pire que criminel. (more…)
Premier octobre 2016.
C’est la date choisie (unilatéralement comme de coutume…) par l’Union européenne comme limite pour la signature des APE.
Les APE, ce sont les Accords de partenariat économique. (more…)
J‘ai vu la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Rio de Janeiro, cette nuit, au Brésil.
Jusqu’à la fin, je vous dis . Malgré les moustiques qui étaient décidés à me prendre tout mon sang. (more…)
Combien de fois n’avons-nous pas entendu ce genre de mots, quand il est question d’amour?
Certaines de nos soeurs s’en sont faites une vraie spécialité, d’expertise dans le domaine masculin.
J‘en vois de toutes les couleurs. (more…)