Les kulunas sont encore là: où sont les xénophobes?
Il s’appelle Fortuné.
Vu son âge, depuis que je suis ado (et que je le connais), je l’appelle tonton. Lui et sa famille furet les locataires de mes parents dans la rue Franceville, à Ouenzé, au bord de Maduku-Tsékélé, rivière bien connue traversant certains quartiers de notre ville capitale. (more…)