Il y a 40 ans, le combat du siècle…
Oh! comme le temps passe et on a parfois envie de lui dire
Ô temps! Suspends ton vol, et vous, heures propices!
Suspendez votre cours:
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours!
Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent
Oubliez les heureux
(…)*