« Les organisations politiques? Elles ne font que parloter! »
Avant-hier, dimanche 26 octobre 2014, la Ligue Panafricaine – UMOJA (LP-UMOJA) par le biais de sa sous-section Île de France tenait son Café mensuel au 19 rue du Chalet, Paris 10.
Nombre de nos invités en arrivant sont très souvent surpris de constater qu’il n’y a pas foule de notre côté.
Ce sont des gens qui ont la gentillesse de recevoir notre newsletter, de lire nos publications sur les réseaux sociaux etc.
Nous leur répondons souvent que le travail au sein de notre organisation se fait au quotidien, mais quand nous disons au quotidien, c’est vraiment au quotidien. Et, le surcroit d’activité ayant atteint un certain niveau, il arrive de plus en plus que le même jour, au même moment, dans différents territoires à Kama, dans diverses régions et/ou villes de France, des meetings, des réunions et autres manifestations ont lieu concomitamment.
Avant-hier donc, nous n’avons pas dérogé à ce qui est devenu une habitude et sera sous peu une tradition et une coutume.
En effet, l’auteur de ces lignes et une partie des sœurs et frères étaient à Paris dans le dixième arrondissement.
Au même moment, dans un autre coin de Paris, des membres de notre association rencontraient des frères du Burkina-Faso pour une séance de travail. Elle devait prendre fin à 19 heures 30’ alors que de notre côté, nous étions censés terminés à 19 heures 00’.
Dans le Sud-Est de la France, une autre équipe était en train de s’atteler à la préparation prochaine d’un événement qui aura lieu en novembre.
Un autre frère, chez lui, a passé le week-end à préparer les affiches pour cet événement à venir.
Sur le continent, des réunions et autres séances de travail avaient lieu.
Stop ! je n’en rajouterai pas.
Je suis très fier de faire partie de cette équipe qui grandit et s’épanouit au quotidien, avec des frères et des sœurs déterminés à changer de paradigme et à faire changer ceux des nôtres.
Combien sont-ils à penser que les partis politiques ne sont que des endroits réservés à la parlotte et, au sortir de là rien, zéro suite. Par no convictions, par notre travail, petit à petit, nous escaladons cette pente que l’écrasante majorité d’entre nous trouvent insurmontable.
Bon, on aura d’autres occasions de causer.
Merci à tous et à toutes, membres de la LP-UMOJA et les autres.
Obambe GAKOSSO
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