Sabala détente avec Demba Coulibaly
L‘oiseau à un moment donné s’arrête de chanter soit pour entendre l’écho de son chant soit pour entendre un autre oiseau. C’est à peu près ce qu’a dit le poète Mwene Okoundji, le mardi 14 janvier dernier à la Galerie du Congo, lors de la soirée littéraire consacrée à la compilation des poèmes de Tchicaya U’Tam’Si, faite par le critique littéraire et universitaire Boniface Mongo Mboussa. (more…)